البـــــوابـــة
Issu d’une famille d’experts en arts martiaux (son père est un célèbre professeur d’arts martiaux), Donnie Yen a été initié aux rudiments des arts martiaux dès son plus jeune âge.
Les arts martiaux et le cinéma : un cocktail parfait pour Donnie Yen …
Le début de l’année 2009 est marquée par l’ascension fulgurante de Donnie Yen dans l’univers des films d’action. Passionné et acharné, Donnie Yen prend très au sérieux son travail dans le show-biz.
Donnie Yen et les arts martiaux
Issu d’une famille d’experts en arts martiaux (son père est un célèbre professeur d’arts martiaux), Donnie Yen a été initié aux rudiments des arts martiaux dès son plus jeune âge. A quatre ans, sa mère (professeur de Tai-chi réputée) lui apprend le Tai-chi. Il s’installe à Boston avec sa famille à partir de 11 ans et découvre d’autres arts martiaux comme le taekwondo ou encore le jiu-jitsu japonais.
A 18 ans, il retourne en Chine et approfondit ses connaissances du Wushu. Il étudie à Beijing sous la direction de Wu Bin (le fameux formateur de Jet Li). Il fut membre de la célèbre équipe de Wushu de Beijing durant deux ans. Titulaire d’un style de combat unique en son genre, Donnie Yen se révèle être combattant hors pair dans l’univers des arts martiaux.
Donnie Yen et le cinéma
C’est en Chine que Donnie Yen fait la connaissance Yuen Woo-ping, un célèbre réalisateur qui lui donne sa chance dans le cinéma. En 1984, Yuen Woo Ping accorde un rôle à Donnie Yen dans le film « Drunken Tai Chi ». Le public français commence à connaître l’acteur chinois avec le film « Once Upon a Time in China II ». Ses prestations d’acteurs ainsi que sa dextérité au combat lui ont valu une renommée internationale dans le cinéma.
Donnie Yen fait ses débuts dans la réalisation avec le film « Legend of Wolf ». Sa participation active dans l’élaboration des chorégraphies fait de ses scènes de combat un spectacle époustouflant. Donnie Yen disait d’ailleurs : « un coup de poing reste toujours un coup de poing, la différence réside dans la manière dont on frappe l’adversaire… ». En 2009, ses prestations dans « Flash point (2007) » ou « Ip Man (2008) » commencent à être appréciées à leur juste valeur
Les arts martiaux et le cinéma : un cocktail parfait pour Donnie Yen …
Le début de l’année 2009 est marquée par l’ascension fulgurante de Donnie Yen dans l’univers des films d’action. Passionné et acharné, Donnie Yen prend très au sérieux son travail dans le show-biz.
Donnie Yen et les arts martiaux
Issu d’une famille d’experts en arts martiaux (son père est un célèbre professeur d’arts martiaux), Donnie Yen a été initié aux rudiments des arts martiaux dès son plus jeune âge. A quatre ans, sa mère (professeur de Tai-chi réputée) lui apprend le Tai-chi. Il s’installe à Boston avec sa famille à partir de 11 ans et découvre d’autres arts martiaux comme le taekwondo ou encore le jiu-jitsu japonais.
A 18 ans, il retourne en Chine et approfondit ses connaissances du Wushu. Il étudie à Beijing sous la direction de Wu Bin (le fameux formateur de Jet Li). Il fut membre de la célèbre équipe de Wushu de Beijing durant deux ans. Titulaire d’un style de combat unique en son genre, Donnie Yen se révèle être combattant hors pair dans l’univers des arts martiaux.
Donnie Yen et le cinéma
C’est en Chine que Donnie Yen fait la connaissance Yuen Woo-ping, un célèbre réalisateur qui lui donne sa chance dans le cinéma. En 1984, Yuen Woo Ping accorde un rôle à Donnie Yen dans le film « Drunken Tai Chi ». Le public français commence à connaître l’acteur chinois avec le film « Once Upon a Time in China II ». Ses prestations d’acteurs ainsi que sa dextérité au combat lui ont valu une renommée internationale dans le cinéma.
Donnie Yen fait ses débuts dans la réalisation avec le film « Legend of Wolf ». Sa participation active dans l’élaboration des chorégraphies fait de ses scènes de combat un spectacle époustouflant. Donnie Yen disait d’ailleurs : « un coup de poing reste toujours un coup de poing, la différence réside dans la manière dont on frappe l’adversaire… ». En 2009, ses prestations dans « Flash point (2007) » ou « Ip Man (2008) » commencent à être appréciées à leur juste valeur
