Lalla Fathma N’Soumer
De la préparation De l’élève eiza Mohamed Rami Classe 2eme1
Lalla Fathma N'Soumer (1830 - 1863) :, est une personnalité algérienne de la résistance des Zouaouas (le nom d'une ancienne et puissante confédération de huit tribus dans la région de haute kabylie) contre la conquête de l'Algérie par la France dans les années 1850.
« Lalla » est un titre honorifique ou une marque de respect féminin.
« N'Soumer » vient du kabyle « de Soumer », nom du village dans lequel son père tenait une médersa, une école religieuse
Biographie :
Fatma N'Soumer naquit vers 1830 à Ouerja, fille du cheikh Ali ben Aissi et de Lalla Khdidja, sur la route de Ain El-Hammam vers le col de Tirourda, en Kabylie.
Appelée « la Jeanne d'Arc du Djurdjura » par l'historien Louis Massignon, la jeune femme a assisté aux combats et joué un grand rôle dans le moral des troupes, mais sans participer militairement aux affrontements. La jeune fille elle-même a accédé à une instruction. Mariée de force à un cousin, Fatma est en quelque sorte en rupture avec le modèle traditionnel de l'époque et prend les armes contre les troupes françaises.
En 1857, le maréchal Randon parvient à prendre Ath Irathen de la main des Icherriden au cours d'une bataille qui mobilisa la région du Djurdjura.
Elle fut capturée par l'armée française le 27 juillet 1857, dans le village de Takhlijt Ath Atsou, près de Tirourda, où elle avait organisé un noyau de résistants.
Elle décéda en 1863 à Béni Slimane.
Dans les années 1980, ses cendres ont été transférées de Kabylie vers le Carré des martyrs à Alger.
De la préparation De l’élève eiza Mohamed Rami Classe 2eme1
Lalla Fathma N'Soumer (1830 - 1863) :, est une personnalité algérienne de la résistance des Zouaouas (le nom d'une ancienne et puissante confédération de huit tribus dans la région de haute kabylie) contre la conquête de l'Algérie par la France dans les années 1850.
« Lalla » est un titre honorifique ou une marque de respect féminin.
« N'Soumer » vient du kabyle « de Soumer », nom du village dans lequel son père tenait une médersa, une école religieuse
Biographie :
Fatma N'Soumer naquit vers 1830 à Ouerja, fille du cheikh Ali ben Aissi et de Lalla Khdidja, sur la route de Ain El-Hammam vers le col de Tirourda, en Kabylie.
Appelée « la Jeanne d'Arc du Djurdjura » par l'historien Louis Massignon, la jeune femme a assisté aux combats et joué un grand rôle dans le moral des troupes, mais sans participer militairement aux affrontements. La jeune fille elle-même a accédé à une instruction. Mariée de force à un cousin, Fatma est en quelque sorte en rupture avec le modèle traditionnel de l'époque et prend les armes contre les troupes françaises.
En 1857, le maréchal Randon parvient à prendre Ath Irathen de la main des Icherriden au cours d'une bataille qui mobilisa la région du Djurdjura.
Elle fut capturée par l'armée française le 27 juillet 1857, dans le village de Takhlijt Ath Atsou, près de Tirourda, où elle avait organisé un noyau de résistants.
Elle décéda en 1863 à Béni Slimane.
Dans les années 1980, ses cendres ont été transférées de Kabylie vers le Carré des martyrs à Alger.