... A l'heure où sur la mer le soir silencieux Efface les lointaines voiles, Où, lente, se déploie, en marche dans les cieux, L'armée immense des étoiles,
Ne songes-tu jamais que ce clair firmament, Comme la mer a ses désastres ? Que, vaisseaux envahis par l'ombre, à tout moment Naufragent et meurent des astres ? [...]