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    Sur l’éducation des enfants de migrants nord africains

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    GODOF
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    Sur l’éducation des enfants de migrants nord africains Empty Sur l’éducation des enfants de migrants nord africains

    مُساهمة من طرف GODOF السبت 21 نوفمبر - 19:02

    I. CONTEXTE

    Actuellement, il n’existe pour les enfants nord-africains de la seconde génération en Europe qu’une seule alternative pour connaître leur « culture d’origine » : suivre des cours de langue arabe ou des cours de « civilisation islamique ».

    En fait, il n’existe pour eux aucune version laïque et tant soit peu objective de l’histoire et de la culture de l’Afrique du Nord.

    Il va sans dire qu’il en est de même pour la majorité de ceux habitant l’Afrique du Nord.

    Malgré les promesses récentes des gouvernements d’Algérie et du Maroc, aucun fait n’a suivi les discours.

    Par contre, les enfants des classes nanties de ces pays ont toujours eu la possibilité de fréquenter les lycées français ou d’autres établissements scolaires créés grâce à la collaboration des pays occidentaux.

    Malgré un certain ethnocentrisme, ils y reçoivent un point de vue nettement plus objectif que leurs compatriotes défavorisés.

    Il se trouve que, même en Europe, les acteurs sociaux (éducateurs, pro*****urs, animateurs de quartiers, responsables politiques, etc.) tombent dans ce piège car, par ignorance et de bonne foi, ils sont amenés à admettre et même prescrire des cours de langue arabe classique, préparant ainsi objectivement la voie à l’acculturation des berbérophones et au développement de l’intégrisme islamiste chez les arabophones.

    Ceci n’est pas sans incidence sur le développement de l’extrême droite en Europe…

    Le drame, c’est que les parents de ces jeunes berbérophones, étant relativement analphabètes, leurs emboîtent le pas dans ce qu’ils croient être une culture supérieure à la leur.

    Une des conséquences de ce phénomène est qu’entre autres la composante matrilinéaire de la culture berbère est remplacée par son pendant patrilinéaire de la culture arabe, avec tout le lot de déséquilibre psychique qui en résulte.

    Notons que cette « sous-culture » de bas niveau, qu’est la culture arabe populaire d'Afrique du Nord, est destinée aux couches subalternes de la société ; la classe aisée de ces pays n’y adhère pas ou, du moins, que formellement : leurs enfants étant depuis toujours éduqués à l'occidentale.

    On peut remarquer, d’autre part, que les principaux acteurs de cette politique d’ « arabétisation » sont des berbères notoires : Boumédienne, n’était-il pas d’origine Chaoui (ainsi que son principal conseiller, le colonel Si Lakhdar, qui ne quittait jamais les Aurès…) ; Abbassi Madani, le chef de file du FIS, n’est-il pas Kabyle ; Hassan II n’avait-il pas une mère Chleuh ? ; Chikh Yassine, le chef de file des intégristes au Maroc, n’est-il pas Chleuh (pratiquant encore sa langue) ? Il en va de même de tous les dirigeant algériens qui parlent le Kabyle ou le Chaoui à la maison, etc.

    En fait, de tous les peuples islamisés, seuls les berbères (arabisés) se prennent pour des arabes et le phénomène d’ « arabétisation » est l’œuvre de leur propre aristocratie !

    Dans les années 80, les intellectuels berbérisants - souvent issus de couches favorisées - qui avaient prévu le scénario du suicide collectif, vécu aujourd’hui en Algérie et conséquence de l’arabisation effrénée, étaient traités de séparatistes !

    L’histoire leur a malheureusement donné raison !

    Le financement de cours de langue arabe et de religion musulmane par l’Arabie Saoudite représente en fait un investissement de son gouvernement ayant pour but de maintenir et de développer le business très lucratif des pèlerinages à La Mecque !

    Il est scandaleux de constater que le gouvernement belge tolère cette situation sur son territoire d'autant plus que cela concerne une population destinée à rester définitivement dans ce pays et que ce n'est pas sa vraie culture d'origine !

    L’opposition des gouvernements d’Afrique du Nord à l’intégration des immigrés en Europe s’explique essentiellement par leur volonté de maintenir les flux financiers importants, destinés à leurs familles restées au pays, et contrôlés par des importateurs privilégiés, liés aux pouvoirs en place, qui profitent ainsi des devises que ces états mettent à leur disposition.

    Les gouvernements en place dans les pays d’Afrique du Nord jouent, de manière hypocrite, la carte idéologique du ‘Panarabisme’ afin de détourner l’attention de leurs compatriotes des problèmes et des enjeux réels qui les concernent vraiment.

    Or on a constaté que depuis la guerre du Golfe ce fantasme collectif du 'Panarabisme' en a pris un sacré coup, laissant la place à l’intégrisme !

    La question de la Palestine, indépendamment de l'analyse qu'on en fait, a représenté pendant longtemps, et toujours aujourd’hui, l’os à moelle divin à utiliser pour donner un sursis aux dirigeants de cette région.

    Pourtant, à un moment donné, il y avait un pourcentage très significatif (+ 25%) de juifs berbères émigrés en Israël et personne n’en parle!

    L’Europe et en particulier la France coloniale ont une responsabilité historique dans l’arabisation de l’Afrique du Nord et le sort des rapports entre les générations futures des 2 côtés de la Méditerranée dépendent des actions d'hier et d’aujourd’hui.

    L’Afrique du Nord représente, qu’on le veuille ou non, l’arrière-cour de l’Europe, et il importe que des liens culturels durables et sains s’établissent entre les deux parties : le Capitalisme d’aujourd’hui (au caractère de plus en plus « post-industriel ») n’a besoin (contrairement à celui d’hier) ni de clients ni de travailleurs immigrés abrutis.

    Du côté de la presse occidentale, il y a une réelle méconnaissance de la problématique culturelle en Afrique du Nord et dans l’immigration en Europe, en particulier.

    C’est ce qui explique son «engouement» pour « l’art *******in » qui ne peut être à leurs yeux que le Raï, le Chaabi, etc.

    L’intérêt pour cette sous-culture, au contenu idéologique ordurier, n’est autre, selon certains, que la manifestation de la mauvaise conscience de l’européen moyen – de la pitié mal placée, en quelque sorte, pour « des ex-colonisés qu’il faut prendre comme ils sont » - qui voudrait ainsi se dédoauner d’être raciste…

    La production cinématographique et musicale n’est pas en reste dans ce processus de désinformation : il n’y a qu’à voir les dégâts produits par les productions de Canal + avec Jamel Debouze, Eric & Ramzy et enfin le plus dévastateur (y compris pour l’émission Nulle Part Ailleurs) qui n’est autre que le fameux Nagy.

    II. LAÏCITÉ (MODERNITÉ) ET CULTURE BERBÈRE

    Tout en ayant été fortement influencée par l’Islam, la société et la culture berbères présentent cette particularité de ne pas être à proprement parler « islamiques », en ce sens que si la religion y est très présente, ce n’est ni la seule référence, ni même la principale source de la norme sociale.

    On peut affirmer que les sociétés berbères sont presque toutes laïques en ce sens que l’organisation sociale et le pouvoir n’y sont pas d’origine religieuse comme l’attestent tous les rituels en vigueur dans les sociétés kabyle, touarègue (à dominante matrilinéaire), chleuh ou du Moyen-Atlas, etc...

    Dans ces domaines, le religieux intervient toujours de façon secondaire, pour sanctifier en quelque sorte, mais il n’est jamais la source-même de la Norme et de l’Autorité.

    En de nombreuses matières, rituelles ou juridiques, il arrive fréquemment que les groupes berbères aient maintenu ou initié des pratiques soit totalement extérieures à l’orthodoxie islamique, soit même en contradiction directe avec les prescriptions de celles-ci...

    L'exemple bien connu des femmes Aït Haddidu (Imilchil – Moyen-Atlas) qui choisissent leur futur mari l'atteste.

    Cette tendance est particulièrement marquée en Kabylie et dans l’immigration kabyle en France, en raison de l’influence ancienne de l’École Républicaine, présente dans la région dès les années 1870.

    Cette influence laïque est une caractéristique forte de la Kabylie, y compris dans les couches peu instruites.

    Elle se traduit par l'adhésion massive aux idéaux démocratiques confirmés par les tests électoraux récents : cette région est la seule en Algérie qui ait échappé à l'emprise islamiste (et du FLN) et où des partis républicains et démocrates occupent une position dominante.

    On voit donc que l'immigration n'est pas sans influence sur le pays d'origine !

    III. CONSÉQUENCES SUR L'IMMIGRATION :

    Il est intéressant à remarquer que l’influence des islamistes aussi bien que la délinquance touchent surtout les enfants d’immigrés de la dernière vague (1970-80) issus des bidonvilles de cités comme Tanger, Casablanca etc... - souvent fraîchement arabisés et adoptant le comportement hystérique des convertis - et non ceux dont les parents ont migré de longue date, depuis les campagnes et donc souvent berbérophones.

    Ceci nous permet de caractériser la plupart d'entre eux comme appartenant au quart-monde.

    Nous remarquerons aussi que la société citadine d'Afrique du Nord est à dominante patrilinéaire et franchement machiste, contrairement à la société rurale d'où proviennent la plupart des immigrés de longue date, essentiellement du fait de la perte du pouvoir économique de la femme berbère qui accompagne l'exode rural.

    Pourtant, malgré l'origine rurale de beaucoup d'entre eux, on constate un phénomène de "rattrapage des valeurs citadines du pays d'origine".

    L'arabisation, qui ouvre la porte à une islamisation pour le moins dogmatique et surannée - illustrée par le port quasi systématique du voile par beaucoup de femmes immigrées alors qu'au pays, il est plutôt un signe d'appartenance à l'équivalent de notre quart-monde - est favorisée ici, en Europe, par l'encadrement des amicales et l'absence d'alternatives culturelles et idéologiques.

    Nous avons vu aussi la récupération - par le simple fait du port du voile par la grande sœur de la victime - de l'affaire "Loubna Benaïssa" par les islamistes alors que cette famille est originaire du Rif (Berbères du nord du Maroc ).

    Celle-ci n'est que la plus spectaculaire de toutes, car médiatisée, mais son effet n'en est pas moins néfaste pour la communauté elle-même que pour la communauté belge, obligée de croire à une certaine image - faussée - de l'immigration originaire d'Afrique du Nord et de Turquie.

    Il est vérifié que les rapts d'enfants à leurs mères européennes sont l'œuvre exclusive d'arabisés et non de berbérophones !

    IV. DESCRIPTION DE L’ACTION ET MÉTHODOLOGIE :

    Le problème de la prise en charge des langues issues de l'immigration, notamment le berbère, ne se pose évidemment pas qu'en France où le berbère est la première langue étrangère réellement parlée (d’après l’INSEE) !

    Depuis quelques années, une réflexion et des débats sont engagés à ce sujet dans plusieurs pays européens (France, Belgique, Allemagne, Pays-Bas, etc.).

    Des expériences associant universités, autorités locales et associations culturelles ont même eu lieu dans plusieurs de ces pays.

    Les politiciens européens vont devoir se faire à cette idée avant même que ne survienne le tarissement des cadeaux payés en pétrodollars…si nous voulons arrêter la pollution physique et morale de l’Europe et du monde entier !

    V. IMPLICATIONS PRATIQUES & RÔLE DU MONDE ASSOCIATIF EN EUROPE :

    1. Il existe un réel potentiel de mobilisation des jeunes de la seconde génération autour d’activités fortement intégratives et valorisantes, qui concerne l’enseignement et les animations autour de la langue et de la culture berbères associant les communes, les associations de quartiers, etc., favorisant ainsi l’intégration individuelle et collective.

    2. Permettre de fixer la culture orale - essentiellement véhiculée par les femmes dans le cas des familles berbérophones - et la diffuser auprès de la population, y compris le public occidental.

    3. L'animation en langue berbère pourrait être une contribution concrète pour la consolidation du patrimoine linguistique et culturel de groupes généralement défavorisés, une école de préparation aux respects des cultures, à la tolérance, à l'ouverture vers l'Autre.

    VI. OBJECTIFS :

    1. Barrer la route à la montée de l’intégrisme d’une part, et du racisme et de la xénophobie de l'autre et ce autant du côté des immigrés que des non-immigrés.

    2. Permettre une meilleure compréhension entre les deux communautés.

    En effet, une bonne maîtrise de la langue et de la culture d’origine est sans conteste un facteur favorable à la réussite scolaire, à l’adhésion à la culture d’accueil et plus largement à une relation équilibrée entre les cultures et les communautés en contact.

    Au plan individuel comme au plan collectif, une relation positive à sa langue et à sa culture, à ses origines, est une condition décisive et préalable pour l’ouverture vers l’Autre.

    Toutes les observations psycho-pédagogiques confirment que les enfants et les groupes qui maîtrisent leur patrimoine culturel et linguistique d’origine - celui des parents-, ceux qui ont avec lui une relation valorisante, parviennent plus facilement à un bon niveau de maîtrise et d’aisance dans la langue et la culture d’accueil.

    On ne peut être en harmonie avec l’Autre que si on l’est d’abord avec soi-même !

    Supprimer la honte qu'ont certains parents berbérophones à parler le berbère à leurs enfants est un devoir pour ceux qui veulent œuvrer à la valorisation de la personnalité de l'individu immigré, lui permettre de ne pas se marginaliser et donc tomber dans les rangs de l'intégrisme ou de la délinquance qu’ils sont censés combattre….

    3. Prouver aux immigrés arabophones qu'ils ne sont en fait que des Berbères acculturés leur permet de se détourner de l'obscurantisme religieux et du fantasme collectif - créé de toutes pièces - de "Nation Arabe" auquel ne croient même pas les élites au pouvoir dans leurs pays d’origine ; pour preuve, il n'existe aucun dictionnaire unique de la langue arabe et pour cause : il existe une multitude d'Académies arabes et donc l'impossibilité d'établir un !

    4. Montrer que les cultures européennes et maghrébines sont beaucoup plus proches qu’on ne le croit, comme le montrent les apports indéniables des Berbères à la culture occidentale, que confirment par exemple :

    · des personnages historiques : des écrivains berbères de l'Antiquité comme Tertullien, Saint Cyprien, Saint Augustin, Fronton, Lactance, Apulée qui ont été les introducteurs du christianisme en Europe, ou des gens comme Léon l'Africain, Jughurtha et bien d'autres ...

    · des personnages contemporains : Daniel Prévost, Zinedine Zidane, Isabelle Adjani, Mouloudji, Edith Piaf, Enrico Macias, Jean & Taos Amrouche, Albert Memmi, Mouloud Feraoun, et bien d’autres ... sans oublier les milliers d’inconnus - quasi tous montagnards berbérophones - morts pendant les deux Grandes Guerres sur le sol européen !

    · des apports à la culture latine : prépondérance de l’église africaine à une certaine époque, apports de plusieurs inventions en agriculture à l’époque romaine, démystification d’un certain nombre d’inventions prétendument « arabes », etc.

    5. Désamorcer le racisme entretenu par les gouvernants du ******* à l’encontre des israélites, par suite de la confusion entre sionisme et judaïsme, alors que bon nombre de citoyens d’Israël parlent encore le berbère du sud marocain (Tachelheit).

    6. Réduire - si pas supprimer - l'encadrement des populations immigrées par des organismes des pays d'origine (ex. "amicales" infiltrées de barbouses, mosquées financées par l'état le plus obscurantiste de la planète, l'Arabie Saoudite, etc.) dans la perspective d'une intégration harmonieuse de ces populations dans la société européenne.

    7. Œuvrer ainsi à la coopération entre l'UE et les pays de la Méditerranée plutôt que de marcher dans le travers du "dialogue euro-arabe" qui n'a en fait pas de sens réel.

    CONCLUSIONS

    En guise de conclusion, nous insérons ici un texte du Pro*****ur de berbère - Salem Chaker - de l'INALCO de Paris qui nous semble tout aussi pertinent pour la Belgique :

    « Pour tout un ensemble de raisons, historiques, culturelles, sociales et politiques, internes et externes, c'est très certainement une nécessité et une urgence pour l'Éducation Nationale française que d'engager, de façon réaliste et progressive, un processus de prise en charge de la langue et de la culture berbères.

    C'est d'abord l'intérêt géostratégique de la France et de l'Europe en Afrique du Nord. L'écrasante majorité des berbérisants maghrébins ont été/sont formés en France. Leur langue de travail demeure le Français, leurs publications se font très majoritairement en français.

    C'est ensuite une nécessité socioculturelle intérieure française puisqu'une proportion considérable de la population d'origine maghrébine qui vit en France est de langue berbère - principalement kabyle d'Algérie, secondairement chleuh du Maroc (*) - Les chiffres du Baccalauréat confirment d'ailleurs avec éclat que le berbère doit être considéré aussi comme une "langue de France".

    C'est enfin une chance exceptionnelle qu'il importe de saisir : on dispose ainsi, sur le territoire européen même, d'un vivier de jeunes gens et jeunes filles, en grande majorité de nationalité européenne et destinés à vivre en Europe, ayant une connaissance naturelle et intime de la langue et de la culture berbères. À travers l'enseignement de cette "langue d’Europe » "(°), on contribuera utilement à la valorisation de ce patrimoine linguistique et culturel d'origine extérieure, valorisation dont on sait qu'elle peut être un facteur important pour une intégration harmonieuse des populations concernées dans la société européenne. Ces jeunes pourront servir de lien naturel avec leurs communautés et les pays d'origine. »

    Fin de citation.

    Il serait souhaitable que les autorités belges réagissent sans tarder en créant des chaires de "Civilisation berbère" dans chaque université du pays en remplacement de celles s'occupant de "Civilisation Islamique", ouvrant ainsi la voie à la formation de cadres destinés à l'encadrement des enfants issus de l'immigration (éducateurs, pro*****urs de l'enseignement primaire et secondaire, etc.) ainsi que de ceux qui, en Europe, ont affaire, de près ou de loin, à l'immigration... Les pro*****urs d'université ne manquent pas de par le monde et une formule de ‘Pro*****urs itinérants’ est tout à fait envisageable, dans un premier temps.


    Notons que ces chaires de « Civilisation Islamique » ne sont en fait que la caution scientifique au travail de sape idéologique des imams dans ces pays ! Ce ne sont pas des recherches qui portent sur des livres sacrés - donc forcement dogmatiques - qui vont nous apprendre quoi que ce soit sur les représentations et coutumes réelles des populations mais des études sur le terrain (pays d'origine et quartiers immigrés) par rapport aux cultures réellement vécues dans les langues réellement - et non prétendument - parlées. Nous ferons ici un parallèle avec quelqu'un qui voudrait connaître les cultures de notre pays en étudiant la Bible en Latin et non en faisant une étude sur les mœurs des Belges dans la langue qu'ils utilisent au quotidien !

    L'enseignement de l'Arabe classique - langue morte à proprement parler en Afrique du Nord - est la porte ouverte à l'apprentissage du Coran et donc à l'emprise de l'intégrisme islamique !

    Paris 1999

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    (*) Pour la Belgique, la majorité écrasante de mineurs installés en Flandre sont Chleuhs (sud du Maroc) et une forte proportion d'immigrés maghrébins résidant à Bruxelles est kabyle ou rifaine.

    (°) Faut-il rappeler que le berbère est encore majoritairement parlé sur le territoire espagnol de Ceuta et de Melilla !

    source : http://www.amazighworld.net/culture/...nt_migrant.php

      الوقت/التاريخ الآن هو الجمعة 15 نوفمبر - 6:58