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    Chien

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    GODOF
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    مُساهمة من طرف GODOF الجمعة 5 مارس - 10:15

    Le chien (Canis lupus familiaris) est un mammifère domestique de la famille des canidés, proche du loup et du renard. Autrefois regroupé dans une espèce à part entière, connue sous le nom scientifique de Canis canis ou encore Canis familiaris, son origine est en fait probablement diverse[1],[2]. Par défaut, les scientifiques regroupent l'ensemble des races de chiens au sein d'un groupe nommé Canis lupus familiaris, une sous-espèce de Canis lupus, à laquelle appartiennent également d'autres sous-espèces comme le loup gris commun. Des chiens domestiqués redevenus sauvages (marronnage) ont créé leur propre groupe homogène qui sont considérés comme autant de sous-espèces de Canis lupus, par exemple les dingos et le chien chanteur.

    Il existe de nombreuses races de chiens. Environ les trois quarts de celles reconnues sont très anciennes et issues de la sélection naturelle sur la morphologie, combinée à une sélection artificielle sur le comportement (exemples : Husky sibérien, Berger de Brie). Le dernier quart est issu d'une sélection artificielle récente (exemples : Berger allemand, Golden Retriever) ; ces dernières sont souvent les plus populaires car modelées à la convenance de l'homme. Certaines races de chiens furent créées à partir de croisements dans le passé. De nos jours, afin qu'un chien puisse se mériter l'appellation de pure race selon la loi dans les pays régis par la Fédération cynologique internationale (dont ceux d'Amérique du Nord et d'Europe), il doit obligatoirement être enregistré dans les livres des origines de son pays de naissance. Sans ces enregistrements, un chien, bien qu'apparaissant appartenir à une race, pourrait posséder des croisements dans sa généalogie et devrait donc être considéré comme tel par la loi[3],[4].

    C'est aussi une appellation pour plusieurs autres espèces de canidés de type Atelocynus et Speothos, voire de rongeurs du genre Cynomys (chien de prairie).

    La domestication du chien débute probablement entre 16000 et 15000 avant J.-C. dans des groupes de chasseurs. En comparaison, le cheval sera domestiqué par des groupes nomades entre 4000 et 3000 avant J.-C.

    Le chien aurait été simplement apprivoisé parmi d'autres animaux, tels les chacals ou les rongeurs. Mais c'est le seul maintenu en dépendance, car il aurait montré le plus d'aptitudes à une socialisation primitive. Le chien a pour ancêtre le loup mais des expériences, en cours depuis une cinquantaine d’années avec des croisements sélectifs de renards semblent donner des résultats similaires à ceux observés chez le chien (comportement particulièrement social, pédomorphisme, tempérament enfantin…).

    Le chien primitif serait un chien de chasse qui aidait l'homme.

    Dans l'Antiquité, les chiens servaient aux combats (exemple : Irish Wolfhound), à la production de viande et étaient aussi supports de croyances et de rites de type religieux.
    Plus tard, sous l'Empire romain, ils étaient des animaux de compagnie, des gardiens de troupeaux et utilisés pour la chasse.
    Au Moyen Âge, dans les campagnes et les milieux populaires, les chiens suscitent des peurs collectives et faisaient l'objet d'exterminations quotidiennes. Pour la noblesse, par contre, ce fut l'âge d'or de la vénerie.
    À la Renaissance, la passion des hommes pour la chasse parvint à conserver une place aux chiens dans la société. La noblesse considérait le chien comme un signe de puissance et de grandeur. Ceci permit le développement de races de chiens de compagnie.
    Au XIXe siècle, la population de chiens connaît une expansion numérique. Il est devenu un animal commun.
    Vers 1855, les anciennes races de chiens sont reconnues officiellement et leur type est homogénéisé (fixé) tandis que de nouvelles races créées par l'homme apparaissent. C'est l'apparition de la cynophilie.
    À la Belle Époque, puis entre les deux guerres, les artistes, les écrivains, et les politiciens choisissent des animaux qui les différencient du commun tel que les teckels par leurs petites tailles ou encore les caniches pour leurs poils


    On a donné aux chiens le nom scientifique de Canis familiarus au XVIIIe siècle, avant le développement de la biologie évolutive. Avec le développement de celle-ci, l'étroite relation entre races domestiques et sauvages a été reconnue. À ce titre, le statut scientifique des « espèces » domestiques a été remis en cause, et beaucoup de biologistes ne les considèrent plus désormais que comme des formes domestiquées des espèces sauvages originelles.

    Une espèce est en effet constituée de « groupes de populations naturelles, effectivement ou potentiellement interfécondes, qui sont génétiquement isolées d’autres groupes similaires[6] ». Or, les « espèces » domestiques se croisent avec leur espèce parente quand elles en ont l'occasion. « Vu que, du moins en ce qui concerne les races d'animaux domestiques primitives, celles-ci constitueraient, en règle générale, une entité de reproduction avec leur espèce ancestrale, si elles en avaient la possibilité, la classification d'animaux domestiques en tant qu'espèces propres n'est pas acceptable. C'est pourquoi on a essayé de les définir comme sous-espèces[7] ».

    On donne alors à la nouvelle sous-espèce le nom de l'espèce d'origine, complété par le nom de sous-espèce (qui reprend la seconde partie de l'ancien nom d'espèce).

    Nom commun Nom d'espèce traditionnel Nom d'espèce révisé
    Chien domestique Canis familiaris Canis lupus familiaris
    Bovin domestique Bos taurus Bos primigenius taurus
    Chèvre domestique Capra hircus Capra aegagrus hircus

    Certains biologistes sont même réticents à utiliser la notion de sous-espèces pour un groupe domestiqué. D'un point de vue évolutif, l'idée d'espèce ou de sous-espèce est en effet liée à l'idée de sélection naturelle, et non de sélection artificielle. Du fait de cette réticence, et « depuis 1960 environ, on utilise de plus en plus la désignation « forma », abrégée « f », qui exprime clairement qu'il s'agit d'une forme d'animal domestique qui peut éventuellement remonter jusqu'à diverses sous-espèces sauvages :

    Chien domestique - Canis lupus f. familiaris
    Bovin domestique - Bos primigenius f. taurus
    Chèvre domestique - Capra aegagrus f. hircus[7] »


    Le squelette du chien compte environ 300 os (soit environ 80 de plus qu'un squelette humain adulte), le nombre étant variable d'une race à l'autre.

    Malgré sa domestication et la dépendance à l'homme qui en découle, le chien a gardé sa musculature athlétique qui en fait un animal sportif et actif. Il possède un thorax large et descendu, et des pattes qui ne reposent au sol que par leur troisième phalange. Les membres antérieurs comportent 4 doigts, les postérieurs généralement 5, le pouce pouvant manquer chez certaines races (s'il existe, il ne touche pas le sol). Les doigts se terminent par des griffes et sont soutenus par des coussinets plantaires. Le chien est donc un digitigrade.

    La tête du chien comporte une mâchoire puissante. La morsure d'un rottweiler a été mesurée à 149 kg/cm2, celle d'un berger allemand a une pression de 108 kg/cm2, et celle d'un pitbull 106 kg/cm2[8]. La denture définitive, constituée de 42 dents, est en place vers 6 mois.

    Chez le chien, taille et poids sont très variables d'une race à l'autre : dans les extrêmes, le poids du chihuahua peut être de 900 g et celui du mastiff peut atteindre 140 kg.

    L'espérance de vie de cet animal est en moyenne de 11 ans, mais peut aller de 8 à 20 ans.

    Son sens de l'orientation est beaucoup plus précis que celui de l'homme. De même, son sens de l'équilibre serait légèrement plus aiguisé.

    La température corporelle normale du chien va de 38,5 à 38,7 °C. Sa respiration normale va de 16 à 18 mouvements à la minute (le jeune 18 à 20, le vieux 14 à 16). Son pouls va de 90 à 100 pulsations à la minute (le jeune 110 à 120, le vieux 70 à 80). Il se prend à la face interne de la cuisse

    Les chiens, en particulier les plus grands et les plus musclés (Terre-Neuve, Boxer…) et les plus vifs (Berger des Pyrénées, terriers…) ont besoin d'espace et de jeu.

    À défaut d'un jardin où l'animal pourrait rester autant de temps qu'il le souhaite, il est recommandé de sortir son chien au moins quatre fois par jour (une fois toutes les six heures environ, c'est-à-dire deux fois moins qu'un humain allant aux toilettes) pendant une vingtaine de minutes environ, pour lui permettre de dépenser son trop-plein d'énergie, mais aussi et surtout pour éviter les infections urinaires, dues généralement à une trop longue stagnation de l'urine dans la vessie. Si l'animal ne peut être détaché parce qu'il s'enfuit, ayez une longue laisse.

    Cette moyenne de quatre sorties par jour doit être augmentée en cas de risque aggravé d'infection urinaire. C'est le cas notamment pour certaines races de chiens, comme les bergers allemands (susceptibles de nombreux problèmes rénaux) ou lorsque vous donnez à votre chien des aliments non recommandés (voir alimentation).

    Si l'animal possède un jardin et qu'il en a l'accès quotidiennement, il faudra prévoir alors une sortie quotidienne d'une durée d'environ une heure (plus ou moins selon le chien, sa race, son âge, etc.).

    Enfin, ayez à l'esprit, si vous laissez seul votre chien toute la journée, que le meilleur compagnon du chien reste, à défaut de l'homme, un autre chien. Attention, cependant, de n'amener un autre chien sur le territoire du vôtre qu'en ayant auparavant vérifié les réactions de votre chien à ce nouvel animal (double promenade…).

    Le chien est un animal social et de contact (comme l’homme). La solitude est une grande souffrance pour lui. Il a aussi toujours besoin de rencontres avec ses congénères. Il est fréquemment en recherche de partenaires que ce soit pour le jeu, le toilettage mutuel, et la reproduction.

    Le marquage du territoire est un acte d’une grande importance. Le chien a besoin de flairer ses propres traces, celles de ces congénères et d'en déposer de nouvelles.

    Le jeu, lui aussi est primordial pour l’équilibre psychologique même chez le chien adulte, car il permet d’évacuer des tensions accumulées.

    Même si votre chien ne connaît pas l'autre chien, soit il se bat soit ils jouent ensembles.

      الوقت/التاريخ الآن هو الأربعاء 8 مايو - 6:04