Et c’est par cette sphère que le culte de la femme objet grossi.
Le soucis c'est que les femmes entrent dans le jeu des hommes en intégrant d'elles-mêmes le rôle de l'objet. L'homme a certainement du l'y contraindre en premier, mais elle s'y est complu par la suite. Maintenant, c'est complètement entrer dans les mœurs. Tout ce que la femme fait, elle le fait inconsciemment pour l'homme. Je pense à la séduction (elles se maquillent ou veulent perdre du poids pour plaire ; un homme fait rarement d'efforts physiquement). Et je pense bien sur à toutes ces idiotes qui jouent dans le porno ou se foutent à poil pour une pub de yahourt. On ne voit presque jamais d'homme potiche. Par contre, la femme accessoire est la nouvelle mode de notre siècle. Elle est absolument partout. Et au lieu de se révolter et de clamer que non « mon corps n’est pas un jouet », elle entre dans ce jeu d'elle-même, ce qui fait qu'il n'y aura jamais d'égalité entre l'homme et la femme. La libération sexuelle de la femme a eu un effet pervers catastrophique. On a berné la femme avec des rêves de liberté sexuelle et elle a pas compris qu'elle se faisait entuber encore un peu plus. Parce qu'elle profite à qui cette liberté au final ? Aux hommes. Aux hommes qui ont désormais tout sur un plateau d'argent. Des petites femelles soumises qui acceptent de faire tout et n'importe quoi sous prétexte qu'on les rassure (en gros) : "mais non, ma puce je te promet ça te fera pas mal" gnagnagni, gnagnagna..., ou sous prétexte que c'est bon pour elles. Mais le résultat est le même : l'homme a le beau rôle et la femme est juste bonne à y trouver son compte.
Et après il y a celles qui aiment, qui veulent et qui passent outre les principes que les mecs ne franchissent pas (par peur toujours ou besoin de domination). Et qu'on arrête avec la notion de partage. Cette notion va presque toujours dans le même sens. "Je domine ma copine mais je lui donne du plaisir et elle aime ça". Ben voyons. C'est trop facile.
Les actrices porno sont la preuve même de la stupidité de la femme (parce qu'il faut avoir un sacré manque de respect de soi pour aller se faire payer à être humiliée). Ma mère me sort que "c'est leur choix". Et je ne vois vraiment pas en quoi la notion de choix constitue une argumentation valable. On tue par choix, des femmes choisissent de se voiler (je ne veux pas de débat là-dessus, c'est juste un exemple), des personnes se font sauter par choix comme Martyr, on viol par choix (même si le viol résulte d'un délire psychologique complexe), on fout le feu à un chien par choix... Bref, la notion de choix est malsaine et dangereuse. Elle est très, très bancale, d'où la nécessite de la réflexion dans la prise de choix. C'est comme un article trouvé dans un journal tout à fait lisible. Les oscars du X. Des filles récompensées pour leurs performances "annales et orales". C'est juste révoltant et dégoulinant de machisme. On les récompense parce qu'elles ont bien fait la pute, parce qu'elles ont bien servi ces messieurs. C'est l'âne à qui on donne une carotte pour le récompenser, le cheval à qui on donne une friandise parce qu'il a bien sauté tous les obstacles, le chien à qui on fait une tapette sur la tête en murmurant "brave bête". Tu parles d'une récompense !!!!! Et puis bizarrement, il n'y a pas de récompenses pour les "meilleurs cunnilingus" ou pour les « plus longs orgasmes donnés aux femmes ». Preuve en est que la pornographie est horriblement sexiste. Et ces filles là sont toutes sourires en prenant leur prix.
Les fantasmes, quant à eux, ne sont pas faits pour être réalisés. Certains, mais pas tous. Le fantasme est une idée abstraite et floue, un simple concept qu'on a dans la tête. Faire d'une idée abstraite quelque chose de concret a automatiquement des effets néfastes. Notre esprit occulte les notions de douleur et autres, elles ne sont que de vagues esquisses floues. On a tous eu des fantasmes zoophiles ou absolument immondes. Ce sont des idées abstraites. La plupart du temps, on ne les réalisera pas. Soit par soucis d'irréalisme, de rationalité, ou de moralité.
Certains fantasmes sont amoraux, voire immoraux. La pornographie a le tort de rendre n'importe quels fantasmes réels sur des personnes vivantes et réelles. Ce sont de vraies femmes qui subissent tout ça (quand elles se prennent trois bites et qu'on leur fait bouffer de la merde). Bien sûr qu'il y a aussi des hommes "objets", mais c'est très, très rare, puisque la fonction première de la pornographie est de rassurer l'homme sur sa virilité en contrôlant le corps de la femme et en prenant le pouvoir par l'humiliation (le plaisir de la femme, on s'en fout. Dans le porno, la pipe dure 45 min, le cunnilingus 20 secondes, histoire de... généralement y'en même pas). On n'est plus dans le virtuel ou la pensée abstraite. Il y a une véritable atteinte à la dignité de l'être humain. Ce n'est pas les délires d'un couple. On est pas dans le cadre du privé et de la confiance, ni même du jeu.
La pornographie est publique. C'est de la perversité publique. Et tout l'aspect technique (les crèmes anesthésiantes pour les actrices par exemple, le fait qu'elles fassent généralement le scénario avec le réalisateur), on en parle pas. Il n'y a plus de complicité, il n'y a plus d'émotions. On ne laisse que des images crues. Et au niveau de l'impact cérébrale, il n'y a rien de pire que des images. Alors certes, le spectateur va se dire que ce n'est qu'un film en prenant de la distance, mais cette prise de recul, ce raisonnement apposé aux images, ne résulte que d'un processus conscient. On se donne bonne conscience, c'est tout. L'inconscient, lui a vécu les choses de manière radicalement différente. Il ne rationalise pas, il ne réfléchit pas. L'inconscient ne sait pas réfléchir. C'est le boulot du conscient, ça, qui analyse les choses. L'inconscient stock bêtement les informations qu'on lui envoie (cf les rêves qui n'ont aucune cohérence) et ces informations restent. Aucune ne part, jamais. Même le moindre détail. Dans le cadre du porno, il enregistre ce qu'on lui transmet comme images. Il enregistre absolument tout. Il n'enregistre que les images crues. Et donc le message est subtilement et irrémédiablement transmis au cerveau. Il fait son chemin. Qu'on le veuille ou non. Voir une femme se prendre trois bites, du sperme giclé de manière méprisante sur le visage en se faisant traitée de tous les noms, bah ça laisse une trace psychologique indélébile. Qu'on le veuille ou non. (Raison pour laquelle beaucoup de femmes n'aiment pas le porno, parce qu'elles n'aiment pas se voir comme ça. Si les hommes se voyaient à la place des ces filles jouets qui les excitent tant, ils s'exciteraient moins (je parle de l'homme en général, pas de celui qui aime être soumis)). Et cette trace psychologique engraisse les croyances selon lesquelles le corps de la femme est inférieur à celui de l’homme, parce que non seulement elle se fait pénétrer, mais en plus, elle réagit différemment à la douleur, l’humiliation et l’avillissement. Dans la pornographie, la femme ne les apprécie pas seulement, elle en a besoin, elle les demande, ou alors l’homme l’humilie parce qu’il sait que c’est ce qu’elle veut (et les réponses positives de la femme aux phrases injurieuses des hommes « Hein t’aime ça que je te fasse mal » en sont la preuve flagrante). Comme si la femme ne pouvait prendre de plaisir sans être honteusement humiliée. Et plus cette image dégradante s’engraisse, plus elle s’englue dans les mentalités, et plus elle s’englue dans les mentalités, plus le culte de la femme objet s’intensifie et vient polluer nos télévisions de manière toujours plus obscène et misogyne… etc…
C'est la société qui façonne inconsciemment chaque homme et chaque femme que nous sommes. Tant que les femmes n'auront pas compris que montrer leur cul n'aide en rien à la "reconnaissance" de la femme (en tant qu'autre chose qu'un trou ambulant) alors il est inutile d'attendre un changement de comportement de la part des hommes.
C'est aux femmes de faire changer les normes de la société. Les femmes potiches pullulent de toute part et de toute forme. Elles s'enferment dans ces rôles là. Les hommes n'y sont quelque part pour rien. la société ne peut donc pas évoluer, elle ne peut que régresser, jusqu’au jour où les combats gagnés par les femmes seront remis en question (ce qui est entrain d’arriver avec les marches anti-avortement).
Des chaînes de télé diffusent de la pornographie à la demande avec des catégories "viol", "inceste", "pédophilie"... C'est INACCEPTABLE ! La Constitution stipule que le corps humain ne doit pas servir de marchandise ou d'objet, d'où l'interdiction des mères porteuses en France. La pornographie et la prostitution (quoiqu'en soit, la pornographie constitue une branche de la prostitution), sont donc anticonstitutionnelles. Seulement on ne les supprime pas parce que ce sont des hommes au pouvoir et que c'est bon pour l'économie. Les putes ont toujours existé. C'est le plus vieux métier du monde.
Le soucis c'est que les femmes entrent dans le jeu des hommes en intégrant d'elles-mêmes le rôle de l'objet. L'homme a certainement du l'y contraindre en premier, mais elle s'y est complu par la suite. Maintenant, c'est complètement entrer dans les mœurs. Tout ce que la femme fait, elle le fait inconsciemment pour l'homme. Je pense à la séduction (elles se maquillent ou veulent perdre du poids pour plaire ; un homme fait rarement d'efforts physiquement). Et je pense bien sur à toutes ces idiotes qui jouent dans le porno ou se foutent à poil pour une pub de yahourt. On ne voit presque jamais d'homme potiche. Par contre, la femme accessoire est la nouvelle mode de notre siècle. Elle est absolument partout. Et au lieu de se révolter et de clamer que non « mon corps n’est pas un jouet », elle entre dans ce jeu d'elle-même, ce qui fait qu'il n'y aura jamais d'égalité entre l'homme et la femme. La libération sexuelle de la femme a eu un effet pervers catastrophique. On a berné la femme avec des rêves de liberté sexuelle et elle a pas compris qu'elle se faisait entuber encore un peu plus. Parce qu'elle profite à qui cette liberté au final ? Aux hommes. Aux hommes qui ont désormais tout sur un plateau d'argent. Des petites femelles soumises qui acceptent de faire tout et n'importe quoi sous prétexte qu'on les rassure (en gros) : "mais non, ma puce je te promet ça te fera pas mal" gnagnagni, gnagnagna..., ou sous prétexte que c'est bon pour elles. Mais le résultat est le même : l'homme a le beau rôle et la femme est juste bonne à y trouver son compte.
Et après il y a celles qui aiment, qui veulent et qui passent outre les principes que les mecs ne franchissent pas (par peur toujours ou besoin de domination). Et qu'on arrête avec la notion de partage. Cette notion va presque toujours dans le même sens. "Je domine ma copine mais je lui donne du plaisir et elle aime ça". Ben voyons. C'est trop facile.
Les actrices porno sont la preuve même de la stupidité de la femme (parce qu'il faut avoir un sacré manque de respect de soi pour aller se faire payer à être humiliée). Ma mère me sort que "c'est leur choix". Et je ne vois vraiment pas en quoi la notion de choix constitue une argumentation valable. On tue par choix, des femmes choisissent de se voiler (je ne veux pas de débat là-dessus, c'est juste un exemple), des personnes se font sauter par choix comme Martyr, on viol par choix (même si le viol résulte d'un délire psychologique complexe), on fout le feu à un chien par choix... Bref, la notion de choix est malsaine et dangereuse. Elle est très, très bancale, d'où la nécessite de la réflexion dans la prise de choix. C'est comme un article trouvé dans un journal tout à fait lisible. Les oscars du X. Des filles récompensées pour leurs performances "annales et orales". C'est juste révoltant et dégoulinant de machisme. On les récompense parce qu'elles ont bien fait la pute, parce qu'elles ont bien servi ces messieurs. C'est l'âne à qui on donne une carotte pour le récompenser, le cheval à qui on donne une friandise parce qu'il a bien sauté tous les obstacles, le chien à qui on fait une tapette sur la tête en murmurant "brave bête". Tu parles d'une récompense !!!!! Et puis bizarrement, il n'y a pas de récompenses pour les "meilleurs cunnilingus" ou pour les « plus longs orgasmes donnés aux femmes ». Preuve en est que la pornographie est horriblement sexiste. Et ces filles là sont toutes sourires en prenant leur prix.
Les fantasmes, quant à eux, ne sont pas faits pour être réalisés. Certains, mais pas tous. Le fantasme est une idée abstraite et floue, un simple concept qu'on a dans la tête. Faire d'une idée abstraite quelque chose de concret a automatiquement des effets néfastes. Notre esprit occulte les notions de douleur et autres, elles ne sont que de vagues esquisses floues. On a tous eu des fantasmes zoophiles ou absolument immondes. Ce sont des idées abstraites. La plupart du temps, on ne les réalisera pas. Soit par soucis d'irréalisme, de rationalité, ou de moralité.
Certains fantasmes sont amoraux, voire immoraux. La pornographie a le tort de rendre n'importe quels fantasmes réels sur des personnes vivantes et réelles. Ce sont de vraies femmes qui subissent tout ça (quand elles se prennent trois bites et qu'on leur fait bouffer de la merde). Bien sûr qu'il y a aussi des hommes "objets", mais c'est très, très rare, puisque la fonction première de la pornographie est de rassurer l'homme sur sa virilité en contrôlant le corps de la femme et en prenant le pouvoir par l'humiliation (le plaisir de la femme, on s'en fout. Dans le porno, la pipe dure 45 min, le cunnilingus 20 secondes, histoire de... généralement y'en même pas). On n'est plus dans le virtuel ou la pensée abstraite. Il y a une véritable atteinte à la dignité de l'être humain. Ce n'est pas les délires d'un couple. On est pas dans le cadre du privé et de la confiance, ni même du jeu.
La pornographie est publique. C'est de la perversité publique. Et tout l'aspect technique (les crèmes anesthésiantes pour les actrices par exemple, le fait qu'elles fassent généralement le scénario avec le réalisateur), on en parle pas. Il n'y a plus de complicité, il n'y a plus d'émotions. On ne laisse que des images crues. Et au niveau de l'impact cérébrale, il n'y a rien de pire que des images. Alors certes, le spectateur va se dire que ce n'est qu'un film en prenant de la distance, mais cette prise de recul, ce raisonnement apposé aux images, ne résulte que d'un processus conscient. On se donne bonne conscience, c'est tout. L'inconscient, lui a vécu les choses de manière radicalement différente. Il ne rationalise pas, il ne réfléchit pas. L'inconscient ne sait pas réfléchir. C'est le boulot du conscient, ça, qui analyse les choses. L'inconscient stock bêtement les informations qu'on lui envoie (cf les rêves qui n'ont aucune cohérence) et ces informations restent. Aucune ne part, jamais. Même le moindre détail. Dans le cadre du porno, il enregistre ce qu'on lui transmet comme images. Il enregistre absolument tout. Il n'enregistre que les images crues. Et donc le message est subtilement et irrémédiablement transmis au cerveau. Il fait son chemin. Qu'on le veuille ou non. Voir une femme se prendre trois bites, du sperme giclé de manière méprisante sur le visage en se faisant traitée de tous les noms, bah ça laisse une trace psychologique indélébile. Qu'on le veuille ou non. (Raison pour laquelle beaucoup de femmes n'aiment pas le porno, parce qu'elles n'aiment pas se voir comme ça. Si les hommes se voyaient à la place des ces filles jouets qui les excitent tant, ils s'exciteraient moins (je parle de l'homme en général, pas de celui qui aime être soumis)). Et cette trace psychologique engraisse les croyances selon lesquelles le corps de la femme est inférieur à celui de l’homme, parce que non seulement elle se fait pénétrer, mais en plus, elle réagit différemment à la douleur, l’humiliation et l’avillissement. Dans la pornographie, la femme ne les apprécie pas seulement, elle en a besoin, elle les demande, ou alors l’homme l’humilie parce qu’il sait que c’est ce qu’elle veut (et les réponses positives de la femme aux phrases injurieuses des hommes « Hein t’aime ça que je te fasse mal » en sont la preuve flagrante). Comme si la femme ne pouvait prendre de plaisir sans être honteusement humiliée. Et plus cette image dégradante s’engraisse, plus elle s’englue dans les mentalités, et plus elle s’englue dans les mentalités, plus le culte de la femme objet s’intensifie et vient polluer nos télévisions de manière toujours plus obscène et misogyne… etc…
C'est la société qui façonne inconsciemment chaque homme et chaque femme que nous sommes. Tant que les femmes n'auront pas compris que montrer leur cul n'aide en rien à la "reconnaissance" de la femme (en tant qu'autre chose qu'un trou ambulant) alors il est inutile d'attendre un changement de comportement de la part des hommes.
C'est aux femmes de faire changer les normes de la société. Les femmes potiches pullulent de toute part et de toute forme. Elles s'enferment dans ces rôles là. Les hommes n'y sont quelque part pour rien. la société ne peut donc pas évoluer, elle ne peut que régresser, jusqu’au jour où les combats gagnés par les femmes seront remis en question (ce qui est entrain d’arriver avec les marches anti-avortement).
Des chaînes de télé diffusent de la pornographie à la demande avec des catégories "viol", "inceste", "pédophilie"... C'est INACCEPTABLE ! La Constitution stipule que le corps humain ne doit pas servir de marchandise ou d'objet, d'où l'interdiction des mères porteuses en France. La pornographie et la prostitution (quoiqu'en soit, la pornographie constitue une branche de la prostitution), sont donc anticonstitutionnelles. Seulement on ne les supprime pas parce que ce sont des hommes au pouvoir et que c'est bon pour l'économie. Les putes ont toujours existé. C'est le plus vieux métier du monde.